Paul Chocarne-Moreau peintre des petits métiers

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Au plus adroit

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Avez-vous du feu ? (place de la Concorde)

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Bons amis

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Cache-cache

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Chaque âge a ses plaisirs

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Chatons et polissons

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Ecoliers au cirque

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Enfants de chœur dans la sacristie

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Enfants de chœur jouant aux billes

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Jeux au bassin du Jardin des Tuileries

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Je te l'avais dit !

 

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Jeune ramoneur et marmiton fumant des cigarettes

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Jouer au croquet

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La catastrophe

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La fête au pain d'épices sur les grands boulevards à Paris

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La fricassée

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La guinguette en amont de Giverny

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La main chaude - 1

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La main chaude - 2

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La manœuvre de distraction

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La partie de tonneau ou le jeu de la grenouille

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La répétition générale

 

v

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La surprise inattendue

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

La vendange des enfants de chœur

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le petit commis

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le garçon boulanger

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le gourmand

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le jeune cuisinier

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le nouvel ami

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le pâtissier et le ramoneur
place Victor Hugo, Paris
La statue de Vicor Hugo (1902) a été fondue pendant l'occupation allemande 39-45

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le petit boulanger et le ramoneur

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le petit cuisinier d'écrevisses

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le Petit Journal

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le ramoneur et le petit cuisinier

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le vendeur de sculptures

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Le voleur rusé

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

L'opportunité fait le larron

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Marrons chauds

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Mauvaise rencontre

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Partage d'un livre

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Qui était-ce ?

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Ramoneur

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Ramoneur et mitron place de la Madeleine

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Se moquer du singe

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Se moquer du singe (animé)

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Serveurs d'autel espiègles

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Taquiner le perroquet - 1

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Taquiner le perroquet - 2

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Taquiner le singe

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Une libation spirituelle

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Une rencontre marquante

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Une vieille farce -1

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Une vieille farce -12

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Un jeu de billes

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

Un nouvel ami

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

image d'Epinal Les petits métiers de Paris

 

peinture de Paul Chocarne-Moreau

carré Hermès Les Petits Métiers de Paris

 


Paul Chocarne-Moreau (France)

Paul Chocarne-Moreau, né Paul Charles Chocarne à Dijon le 31 octobre 1855 et mort à Neuilly-sur-Seine le 5 mai 1930, est un peintre français.

Paul Chocarne est né à Dijon le 31 octobre 1855 dans une famille d'artistes. Son père est professeur de peinture et il est neveu du père Bernard Chocarne et de l'abbé Victor Chocarne, ainsi que le cousin des sculpteurs Mathurin, Hippolyte et Auguste Moreau.

Paul Chocarne entre à l'École des beaux-arts de Paris, où il est successivement l'élève de Tony Robert-Fleury et de William Bouguereau. Il débute au Salon des artistes français de 1882 et y expose assez régulièrement à partir de cette date sous le nom de Paul Chocarne-Moreau. En 1900 il y obtient une médaille de 2e classe et passe en hors-concours. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1906.

Chocarne-Moreau se spécialise dans la peinture de genre. Il représente des saynètes de la vie parisienne dont les héros sont généralement de jeunes garçons facétieux issus de milieux populaires : jeunes apprentis-pâtissiers, ramoneurs, enfants de chœur, écoliers. Témoin de son temps, il peint des œuvres comme Sur la barricade qu'il expose au Salon de 1909. On a pu voir en lui un précurseur de Norman Rockwell.

Il meurt à Neuilly-sur-Seine le 5 mai 1930 et est inhumé au cimetière de Levallois-Perret.


 

Petits métiers

Petits métiers
Chanson de Juliette

Ils arpentaient les rues et campaient sur les places
Chargés d´objets obscurs, de graines ou bien de vent
Proposant tout ou rien et de bien peu vivant
Leurs grands cris appâtant la vaine populace
Ils arpentaient les rues et campaient sur les places

Oh, combien je regrette leurs voix et leurs musiques
Leurs mains escamotant les piécettes d´argent
Pour service rendu à quelque bonne gens
Et leur air de se foutre de la chose publique
Oh, combien je regrette leurs voix et leurs musiques

Que sont donc devenus
La remmailleuse de bas
Le crieur de journaux
Et la loueuse de chaises
Où donc se sont perdus
La cardeuse de matelas
L´aiguiseur de couteaux
Et le sucreur de fraises
Qui donc les a revus
Le vendeur de mouron
La porteuse de pain
Et le montreur de vues
Ils ont bien disparu
Le grilleur de marrons
L´écorcheur de lapins
Et le chanteur des rues

On n´achetait pas que terrestres nourritures
Autrefois dans nos rues, on y trouvait aussi
Des colporteurs d´histoires et des marchands d´oublies
Et il y avait du rêve plein les petites voitures
On n´achetait pas que terrestres nourritures

Que sont donc devenus
La faiseuse d´embarras
L´accordeur de violons
Et la teneuse de jambe
Où donc se sont perdus
La liseuse de draps
L´ensommeilleur de plomb
Et le violeur de gambe
Qui donc les a revus
L´écriveur de tartines
L´avorteuse de choux
Et le fouteur de guignon
Ils ont bien disparu
Le lécheur de vitrines
La bourreuse de mou
Et l´encaisseur de gnons

Certains étaient tenus à l´écart de la foule
Exerçant un négoce un peu plus inquiétant
Facteurs de basses œuvres et vendeurs d´orviétans
Artisans du frisson, experts en chair-de-poule
Certains étaient tenus à l´écart de la foule

Que sont donc devenus
La toucheuse de bœufs
L´enjoliveur d´obus
Et le pinceur de louches
Où donc se sont perdus
Le dénoueur de nœuds
La torcheuse de culs
Et l´enculeur de mouches
Qui donc les a revus
Le dépendeur d´andouilles
La mangeuse de santé
Et l´étouffeur de vents
Ils ont bien disparu
La gonfleuse de couilles
Le démorveur de nez
Et l´étrilleuse de glands
La tripoteuse d´acné
Le faiseur d´mauvais sang
La fileuse de diarrhée
Aaaaaaaaah !
Et l´équarrisseur d´enfants


 

La Complainte des petits métiers

La Complainte des petits métiers
Chanson de Marie-Paule Belle

La Complainte des petits métiers Chanson de Marie-Paule Belle

Les bougnats, les bourreaux
Les r'passeurs de couteaux
Les soubrettes, les cousettes
Les r'mailleuses de chaussettes
Les porteurs, ramoneurs
Les garçons d'ascenseur
Les modestes, les modistes
Et bientôt les pompistes

J'me demande où sont ces petits métiers
J'me promène dans les ruelles du passé
Cherchant leur chanson mais a-t-elle existé ?

Dans les faubourgs et dans les rues
Il n'y a plus d'hirondelles
Même les rengaines ont disparu

En avez-vous des nouvelles ?
On les a peut-être rêvées
On y a mis des dentelles
Le bonheur a déménagé
En avez-vous des nouvelles ?

Les barbiers, les bottiers
Les barons dépravés
Les héros, les gauchos
Les cocus de Feydeau
Les colbacks, les cornacs
Les gantières d'Offenbach
Les shérifs, les chétifs
Gangsters du château d'If

L'art de vivre est-il un petit métier ?
Une adresse dans les ruelles du passé
Une simple chanson mais a-t-elle existé ?

Dans les faubourgs et dans les rues
Il n'y a plus d'hirondelles
Même les rengaines ont disparu
En avez-vous des nouvelles ?
On les a peut-être rêvées
On y a mis des dentelles
Le bonheur a déménagé
En avez-vous des nouvelles ?


Il changeait la vie

Il changeait la vie
Chanson de Jean-Jacques Goldman

C'était un cordonnier, sans rien d'particulier
Dans un village dont le nom m'a échappé
Il faisait des souliers si jolis, si légers
Que nos vies semblaient un peu moins lourdes à porter

Il y mettait du temps, du talent et du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
A sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie

C'était un professeur, un simple professeur
Qui pensait que savoir était un grand trésor
Que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir
Que l'école et le droit qu'a chacun de s'instruire

Il y mettait du temps, du talent et du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
A sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie

C'était un p'tit bonhomme, rien qu'un tout p'tit bonhomme
Malhabile et rêveur, un peu loupé en somme
Se croyait inutile, banni des autres hommes
Il pleurait sur son saxophone

Il y mit tant de temps, de larmes et de douleur
Les rêves de sa vie, les prisons de son cœur
Et loin des beaux discours, des grandes théories
Inspiré jour après jour de son souffle et de ses cris
Il changeait la vie
Oh, il changeait la vie
Il changeait la vie
Oh, il changeait la vie
Il changeait la vie


Musique : Il changeait la vie (Piano version) - 3 Mo - 3 mn 26 :


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